💡 L’essentiel à retenir :
Améliorer la QVT en 2025 passe par des actions concrètes : former aux bons gestes, encourager l’activité physique, aménager des espaces de repos avec les cocons de micro-sieste Nap&Up, et favoriser l’équilibre vie pro/vie perso.
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Sommaire
En France, près d’un salarié sur cinq travaille la nuit ou en horaires décalés (INRS). Que ce soit dans les hôpitaux, les usines ou les services, ce rythme de vie particulier bouscule profondément notre organisme. Fatigue persistante, sommeil perturbé, difficulté à se concentrer… Comment retrouver un équilibre quand le corps vit « à contre-temps » ?
Quand le rythme de travail dérègle le rythme du corps
Travailler de nuit, en équipes alternées ou avec des horaires irréguliers, c’est demander à son corps de fonctionner contre son horloge biologique. Résultat : le sommeil devient plus court, plus fragmenté et moins réparateur. Cette désynchronisation entraîne souvent une dette de sommeil, c’est-à-dire un manque de repos qui s’accumule et pèse sur le quotidien.
🔹 Selon l’INRS, les travailleurs postés dorment en moyenne 1h à 2h de moins par jour que ceux qui travaillent le jour.
À long terme, ce déficit peut provoquer une fatigue chronique, des troubles de la vigilance ou de la concentration, et une difficulté à « déconnecter » mentalement.
Mais bonne nouvelle : il existe des leviers simples pour aider le corps à se ressourcer, même quand les horaires varient.
La récupération, un pilier du bien-être au travail
Récupérer, ce n’est pas seulement dormir. C’est donner au corps et à l’esprit des temps de régulation pour restaurer l’énergie, apaiser les tensions et retrouver une clarté mentale.
Quand les horaires sont décalés, cela passe par :
- Des rituels de sommeil stables (même heure, même environnement, même durée quand c’est possible)
- Une exposition à la lumière adaptée : forte lumière en début de poste, obscurité avant de dormir
- Une alimentation légère et régulière, évitant les repas copieux avant le coucher
Et surtout… des pauses de qualité, même courtes.
Sieste ou micro-sieste ? À chaque besoin sa solution
La « vraie » sieste : pour rattraper une dette de sommeil
Quand plusieurs nuits ont été écourtées ou qu’un changement d’équipe perturbe le rythme, une sieste longue (environ 1h30) peut être bénéfique.
Elle permet de parcourir un cycle complet de sommeil et d’alléger la fatigue accumulée.
💡 À faire dans une ambiance calme, dans la pénombre, de préférence en dehors des heures de travail.
Cette sieste agit comme un « filet de sécurité » pour recharger profondément le corps.
La micro-sieste : un outil de récupération rapide et stratégique
La micro-sieste, c’est 10 à 20 minutes maximum. Elle n’a pas pour but de compenser une dette de sommeil, mais d’offrir une parenthèse régénérante qui restaure la vigilance et la concentration.
👉 Selon une étude de la Nasa, parue en 2018, une micro-sieste bien placée peut améliorer la vigilance pendant plusieurs heures et réduire les erreurs liées à la fatigue.
Elle peut être pratiquée :
- Pendant les pauses, en fin de matinée ou de poste de nuit
- Dans un espace calme, à l’abri des regards et du bruit
- Avec des aides à la détente : musique douce, posture relaxante, respiration lente
L’idée ? Prévenir la fatigue avant qu’elle ne s’installe, en accordant au corps le droit de ralentir quelques minutes.
Micro-sieste en entreprise : quand la pause devient un vrai soutien
Aujourd’hui les entreprises reconnaissent que la récupération fait partie intégrante du bien-être au travail. Mettre à disposition des espaces adaptés à la micro-sieste n’est plus perçu comme un luxe, mais comme un acte de soin envers les équipes.
C’est dans cette approche que s’inscrit Nap&Up, avec ses cocons de micro-sieste installés directement dans les lieux de travail.
Ces cocons offrent :
- une isolation visuelle et sonore,
- une position ergonomique favorisant la détente,
- des audios guidés (relaxation, respiration, micro-sieste dirigée) pour déconnecter plus vite.
Le saviez-vous ? Selon un sondage réalisé par ResMed en 2024, 60% des personnes interrogées affirment être plus productives au travail après une bonne nuit de sommeil. Et pour cause ! Être reposé affecte directement nos capacités cognitives !
Mieux récupérer : les bonnes pratiques
Voici une recommandation simple, en trois temps, pour optimiser sa récupération :
Avant le poste
- Dormir un peu avant la prise de poste si possible (surtout avant une nuit)
- Manger léger et équilibré
- S’exposer à la lumière naturelle ou à une lampe de luminothérapie
Pendant le poste
- Faire une pause de 10 à 20 minutes pour reposer les yeux et le mental
- Pratiquer une micro-sieste dans un espace calme
- Boire de l’eau régulièrement pour limiter la somnolence
Après le poste
- Privilégier la détente avant le coucher (lecture, musique douce)
- Créer une ambiance sombre et fraîche pour dormir
- Si besoin, faire une vraie sieste d’1h30 pour compenser le manque de sommeil
Et pour les managers : soutenir la récupération, c’est aussi soutenir l’humain
Favoriser la récupération, c’est avant tout prendre soin de l’équilibre des collaborateurs.
Quelques leviers concrets :
- Sensibiliser les équipes aux effets des horaires décalés et aux bénéfices des pauses
- Aménager des espaces dédiés (salles calmes, cocons Nap&Up, zones de repos)
- Valoriser le droit à la pause : la récupération n’est pas une faiblesse, mais un outil d’engagement durable
Quand un collaborateur se sent reposé, écouté et respecté dans son rythme, il retrouve naturellement de l’énergie, de la clarté mentale et de la motivation.
Envie d’offrir à vos équipes une parenthèse régénérante ? Découvrez comment les cocons Nap&Up transforment la pause en un véritable temps de récupération physique et mentale.
👉 Contactez-nous pour imaginer ensemble un espace de micro-sieste adapté à votre environnement de travail.